Nous y étions | RDV ECO
En une simple seconde, votre visage peut déterminer votre compétence présumée à prendre des décisions. Ca semble complètement fou !
La valeur économique du charisme
Si en une seconde, une première impression est marquée, vous imaginez lors d’un entretien d’embauche ?
Lorsque vous présentez votre produit à un·e client·e ?
Où lorsque vous cherchez des fonds auprès d’investisseurs ?
L’exercice fonctionne également lorsqu’on demande à des enfants d’env. 5 ans de choisir entre 2 portraits pour déterminer qui semble être le plus capable à prendre des décisions.
C’est ce que John Antonakis a démontré lors de sa très intéressante et inspirante conférence sur la valeur économique du charisme lors du 5e RDV ECO de la Promotion économique du Canton du Jura.
L’appui des chiffres pour démontrer les études scientifiques a été la cerise sur le gâteau.
Si on peut déterminer, selon le charisme d’une personne, qui obtiendra le plus de votes lors d’une élection, cela remet les choses en perspective, non ?
Et si on rapporte tout cela au monde économique, chaque personne prend instantanément conscience à quel point notre valeur peut changer sur des données qui semblent, à priori, subjectives.
Mais pas tant que cela finalement.
De quoi est composé le charisme ?
Pourquoi utiliser les métaphores ?
L’utilisation des métaphores éveille une imagerie dans l’esprit des gens. Et à tous les coups, le message standard est transformé en une histoire captivante qui fait écho. C’est ce qu’on apprend d’ailleurs lorsqu’on veut faire un bon pitch.
Alors si vous souhaitez améliorer votre capacité à convaincre et développer votre charisme, vous pouvez vous inspirer des poètes qui utilisent à merveille les métaphores.
Un 5e rendez-vous réussi
Ce 5e RDV ECO organisé par la Promotion économique du canton du Jura à Cinemont Delémont, nous a une fois de plus inspiré·es et ouvert l’esprit.
Un grand merci aux intervenants du jour, notamment Neil Truncik, dont la démonstration des effets du coaching en live était intéressante.
Ici encore, l’art de poser les bonnes questions amène une corde de plus à l’arc de la personne qui est manager et qui veut devenir un partenaire de dialogue pour ses collaborateur·trices, plutôt qu’un·e « simple » dirigeant·e.